Eric Schimpf

Résident: 
2016

Je travaille principalement sur des questions identitaires, sur l’absence, sur l’éphémère, et ceci aux travers de divers médiums (herbe, air, eau, photographies). La lumière est également un élément important.

Je suis actuellement très intéressé par le rapport qu’entretient l’être humain avec la technique, la biologie, l’axe nature et culture. Dans un même travail cohabite des sortes d’émergences de formes en matière végétale, un système d’arrosage automatique, ainsi que des structures gonflables. L’ensemble peut faire référence à des éléments biologiques, techniques ou à des fragments de corps.

Parallèlement à ces travaux réalisés en herbes, j’ai testé différents médiums pour arriver à construire « Fantasmagorie », une machine à bulles de savon. Des images projetées sur l’enveloppe fragile des bulles, révèlent des visages. Quand la bulle éclate, une image fugace en trois dimensions apparaît. En relation directe avec ce travail, des photographies ont été réalisées au moment de l’éclatement des bulles.

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